C’est le 20 mars 2018 qu’a eu lieu à Ottawa la première rencontre internationale et multi partis sur la conservation et sécurité des aires protégées et de l’environnement.

Azoth, organisme sans but lucratif pour la protection de l’environnement, a présenté des options réalistes et intéressantes pour parvenir à des solutions concrètes et longs termes.

Créé il y a 2 ans par Jean-François Larose, ancien député fédéral ayant siégé aux comités des affaires étrangères et à la Défense nationale, cet organisme propose de voir la défense de l’environnement en tant que responsabilité globale, requérant la participation de tous les pays. De plus, sans rien enlever au travail acharné des associations déjà existantes, Azoth veut aller plus loin : « Souvent en politique, l’environnement est vu telle une problématique secondaire, mais nous savons désormais que c’est un élément clé de notre survie à long terme. Afin de protéger concrètement l’environnement, il faut des ressources suffisantes, ce qui n’est pas le cas actuellement. » Explique Jean-François Larose, Président-Fondateur.

10 pays ont répondu avec enthousiasme à cette première rencontre. Une des problématiques qui revient régulièrement est le manque de fonds sur le long terme, ce qui empêche de continuer les stratégies en place de protection des aires protégées, ainsi que le manque de communication entre les organismes et les gouvernements.

Jean-François Larose, lors de la première rencontre internationale et multi partis sur la conservation et sécurité des aires protégées et de l’environnement.

Monsieur Larose et son équipe, composée de divers spécialistes provenant de parcours et de nationalités différentes, proposent plusieurs volets d’actions, adaptés aux réalités spécifiques de chaque pays :

« Azoth est un organisme neutre et sans frontières. Nous devons profiter des nouvelles technologies, des ressources existantes, pour créer de l’entraide entre les pays. Il est possible de débloquer des fonds internationaux déjà existants. Il faut penser au-delà des frontières politiques. Azoth, c’est l’anneau manquant pour relier les ressources, les gouvernements, les associations, les populations, sans frontières aucunes. C’est ainsi que nous pourrons obtenir les sommes et la main-d’œuvre nécessaires pour que des résultats durables se créent. »

Bien qu’à l’état de startup, Azoth a su commencer rapidement à organiser les plans nécessaires pour créer des missions et projets réalisables :

  • Programme de recrutement de Rangers : ce programme permettra aux candidats retenus, de devenir des Rangers qualifiés afin de surveiller les aires protégées, partout dans le monde, en coopérant avec les organismes déjà sur place et les gouvernements. Une équipe expérimentée garanti  des opérations internationales rigoureuses et pertinentes

 

  • Projet de création d’une banque internationale pour l’environnement :  La création d’une banque (ou caisse) internationale permettra de modifier entièrement cette méthode injuste et clairement peu efficace. De cette manière, tous les pays auront accès aux ressources, les plus petits pays ne seront pas traités comme des pays secondaires. Cette possibilité permettrait aussi de cesser de taxer les pays.

L’équipe d’Azoth travaille sans trêve afin de concrétiser ces projets. Une deuxième rencontre avec d’autres pays aura lieu en mai 2018, et des pourparlers sont en cours avec des pays afin de finaliser l’organisation de la protection de certaines aires protégées.

Pour en savoir plus et supporter Azoth :

https://azoth.ong/

Pour déposer sa candidature pour le programme de Ranger : https://azoth.ong/carrieres/ranger/